Pour créer un soliton, il faut donner une impulsion rotationnelle à l'aide de la manivelle. On peut alors observer sa propagation.

Visualisation d'un soliton de type "kink" sur notre chaine de pendules

        La longueur du banc (1,5m) permet, comparé à celle d'un soliton (20cm), de mettre en évidence la conservation de l’onde au cours d’un croisement de deux solitons.

        Ensuite, nous avons simulé un changement de milieu de propagation. Pour observer cela il suffit d’accrocher une masselotte sur chaque pendule pour la première moitié d'entre eux puis aucune masselotte pour la moitié des pendules restants et lancer un soliton. 

        On peut aussi modéliser l’impact d’une impureté sur la propagation d’un soliton en introduisant une masse différente des autres sur un pendule (au milieu de la chaîne par exemple).

        D’autre part, nous avons conçu des pendules non solidaires aux paliers afin de pouvoir faire varier la constante de couplage des pendules (en retirant par exemple un pendule sur deux). En diminuant la constante de couplage on peut observer des solitons de type « breather » ce qui est peu fréquent.